jeudi 2 juillet 2015

Je suis contre la dictature des banksters, donc je suis Grec

La bataille de Grèce a une portée non seulement continentale, mais mondiale.
Le dimanche
5 juillet, avec leur bulletin de vote au référendum, les Grecs parleront au nom de tous les peuples écrasés par les dictateurs de Berlin, Francfort, Bruxelles, Londres, La Haye et Paris.


La décision du gouvernement Tsipras de répondre au NIET bruxellois par une consultation démocratique est non seulement juste mais elle est logique. Cette logique est partagée par un très grand nombre de personnes intelligentes de par le monde, comme le Prix Nobel Joseph Stiglitz (L'Europe contre la démocratie grecque), le Prix Nobel Paul Krugman ("Grise": Pourquoi je voterais NON au référendum grec) ou le philosophe Slavoj Žižek (Pourquoi nous sommes tous des Grecs. Face à eux, ces sinistres hommes et femmes en gris qui, l'oeil fixé sur le CAC40, en ont oublié jusqu'aux principes mêmes affirmés par leurs démocraties. Frédéric Lordon analyse leurs réactions dans L’euro, ou la haine de la démocratie
A Athènes, la campagne pour le référendum bat son plein. Alexis Tsipras a appelé à voter NON :
"Le NON n'est pas un simple slogan": intervention télévisée du Premier ministre sur le référendum
Stathis Kouvelakis, d'Athènes , explique dans une interview que "L'Europe a déclaré la guerre à la Grèce" et raconte sa campagne de terrain pour le NON :  Grèce: le moment des grandes décisions
Bonne lecture et restez connectés !
 5 Juillet : Pour la démocratie et la dignité, votez NON !

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